SVT COLLEGE 84

Bienvenue sur le bioblog de Mme Delfour. Je suis enseignante au collège MARIE-RIVIER de SORGUES. Ce blog a pour but de satisfaire la curiosité scientifique des élèves et propose des photos de leurs activités pratiques.

Je vous souhaite de très bonnes fêtes et je remercie tous les visiteurs de mon blog :)

A tantôt.


Entrée de l'insectarium. Vue d'ensemble.

Depuis son ouverture en février 1990, l'Insectarium de Montréal accueille chaque année des centaines de milliers de visiteurs intrigués par cette faune méconnue qui, à tort, inspire souvent crainte et mépris.

L'Insectarium se veut d'abord et avant tout un lieu d'éveil et de sensibilisation au monde des insectes, parce que leur rôle est essentiel pour l'équilibre écologique de la planète. En plus de sa vocation éducative, l'Insectarium poursuit des missions culturelles et scientifiques.

( Article extrait du site ).

Au cours de notre voyage à Québec, nous avons donc visité l'Insectarium de Montréal.Je vous propose quelques photos..



Je vous propose un montage photos, sur les animaux croisés au parc Oméga situé à Montebello, dans la province de Québec.
Ces animaux bénéficient d'un grand espace et nous avons pu voir les moins dangereux, en circulant, dans le car.
Une partie du parc se visite à pieds, et permet d'observer des daims en complète liberté dans un paysage automnal magnifique.
Tous mes remerciements à ARNAUD Pierre, élève de classe de 3°, que l'on peut féliciter pour ses talents de photographe!!

Pour voir les photos cliquez ICI


Vous pourrez voir:
Le loup gris:aussi appelé loup des bois,est le plus gros de la famille des canidés en Amérique du Nord ( 66 à 97 cm à l'épaule ). Il possède généralement une fourrure qui peut varier du blanc au noir.C'est un animal sociable qui vit en meute hautement hié- rarchisée.

L'ours noir: C'est l'ours le plus fréquent au Canada. Il possède des dents et des griffes redoutables. Les mâles pèsent 170kg en moyenne, les femelles 135kg. Les femelles donnent naissance à des jeunes tous les deux ans. Nus, aveugles et très petits à la naissance ils sont sevrés à leur cinquième mois et hibernent avec leur mère pour le premier hiver.

Le daim: il se reconnait à sa fourrure claire ponctuée. Les mâles possèdent des bois aplatis en spatule. L'unique petit nait au mois de juin.

Pensez à aller voir les autres pages du blog :)

Suite à une vidéo déjà publiée sur le blog, voici encore des preuves de l'intelligence du corbeau.
Vous allez voir sur les photos qui suivent, que cet animal sait se fabriquer un outil et l'utiliser, afin de se procurer de la nourriture!!



Bonjour à tous et merci pour vos visites!
Je reviens d'un voyage ( 12 jours), à Montréal, réalisé avec 42 élèves de MARIE- RIVIER.

Un GRAND MERCI aux familles qui nous ont accueillis et à ceux qui nous ont guidés, tout au long de notre séjour.


Voici quelques photos, pour vous donner un avant gout de la beauté de ce pays!!
Les photos, plus nombreuses, seront accompagnées de commentaires détaillés, prochainement:)

A tantôt ou à bientôt, si vous préféré....


Maélis, élève de 5°D, du collège Marie-Rivier, nous a gentiment offert un terrarium, occupé par des phasmes bâtons. Ces animaux se confondent avec leur environnement, afin de passer inaperçus.

Le phasme bâton est un insecte de l'ordre des Phasmoptères, une grande famille regroupant tous les phasmes, il fait partie de la sous-famille des Lonchdiday et du genre Carausius espèce Morosus. Voilà, vous savez tout de sa place dans le monde fabuleux des insectes.

Description :

L'insecte adulte ou Imago mesure 10 à 12 cm de long.
Son corps, fusiforme, ressemble à une brindille grise ou gris-vert (selon son biotope).

  • La tête possède :
    • deux antennes à peu prés de la même longueur que les pattes antérieures,
    • deux yeux
    • deux mandibules adaptées à couper les végétaux dont il se nourrit.
  • Le thorax constitue environ le premier tiers du corps . Il porte 3 paires de pattes filiformes qui peuvent se replier le long du corps. Chez l'adulte, les deux pattes antérieures sont colorées en rouge à l'intérieur de l'articulation , les deux autres paires de pattes sont fixées un peu plus bas sur le thorax.

  • L'abdomen comporte environ six anneaux ou sternites et se termine par l'organe de ponte.
  • Comportement :

    Le Phasme Bâton a une vie nocturne, pendant laquelle il se nourrit de feuilles de ronce, lierre, etc ...
    Le jour, il est replié en bâton accroché par les griffes des pattes avant. Il ne bouge pas sauf s'il est stimulé par la vaporisation ou le toucher.



    Des dizaines de nouvelles espèces ont été découvertes dans la région de Nakanai.

    Merci à tous, pour vos visites sur mon blog :)
    N'oubliez pas d'aller voir les autres pages...
    Si vous avez des suggestions, n'hésitez pas à me les communiquer.
    A bientôt !!



    - Un cratère météoritique vient d'être identifié par les scientifiques grâce à Google Earth. Son étude permettra peut-être de déterminer avec plus d'exactitude les risques liés à de futurs impacts.

    Le cratère Kamil mesure près de 16 mètres de profondeur et 46 mètres de large. Il a été engendré par un bolide métallique de 10 tonnes, se déplaçant à la vitesse de 12.000 km/h. Selon les scientifiques, l'impact aurait généré une boule de feu visible à près de 1.000 kilomètres à la ronde. Le site est jeune, quelques milliers d'années tout au plus. Encore inconnu de la communauté scientifique il y a peu, il est l'un des mieux préservés parmi ceux découverts jusqu'à aujourd'hui.

    Info rédaction Maxisciences

    © Ravenloft
    © Ravenloft

    Une rousserolle effarvatte (Acrocephalus scirpaceus) nourrit un poussin de coucou gris.

    L'œuf de coucou, quand il est pondu, a déjà été incubé 24 heures dans le ventre de sa mère. Il éclora avant ceux de ses parents adoptifs.

    Loïc Mangin

    Le coucou est un oiseau cleptoparasite qui pond ses œufs dans le nid d'autres espèces, le plus souvent des passereaux tels la rousserolle turdoïde et les bergeronnettes. À charge pour les parents adoptifs de nourrir l'intrus. Le stratagème fonctionne d'autant mieux que l'indésirable naît un à deux jours plus tôt que n'éclosent les œufs du nid parasité, lesquels sont vite éjectés. Le jeune coucou reste alors la seule bouche à nourrir. Quels mécanismes expliquent cette naissance prématurée ? C'est ce qu'ont voulu savoir Tim Birkhead, de l'Université de Sheffield, en Grande-Bretagne, et son équipe.

    À l'aide de correspondants répartis en Europe, ils ont prélevé des œufs de coucous fraîchement pondus et ont montré que les organismes qu'ils contenaient étaient à un stade de développement plus avancé que ceux d'autres œufs de même taille. Ils en ont déduit que les œufs de coucou sont préalablement incubés dans le ventre de leur mère, ce qui accélère leur croissance.

    Ils ont vérifié leur hypothèse en incubant artificiellement, pendant 24 heures à 40 °C, les œufs d'une autre espèce, le diamant mandarin, un petit oiseau australien. Les ornithologues ont alors constaté que le développement des deux espèces est similaire. Ainsi, l'œuf de coucou commence sa vie avec une journée d'avance, ne laissant aucune chance à ses compagnons de couvée.

    Extrait de "Pour La Science"

    Méduses, crustacés, requins ou poissons-lanternes, toutes ces curieuses créatures ont été photographiées par une mission scientifique du Queensland brain institute, à plusieurs centaines de mètres de profondeur sous la grande barrière de corail.

    crédit photos : Queensland Brain Institute


    France – Vieux de 50.000 ans, le bébé mammouth surnommé Khroma découvert dans le permafrost sibérien l'an dernier est en route pour la France. Il doit y être analysé et débarrassé des bactéries qu'il héberge avant d'être présenté au public.

    Khroma est le plus vieux des six bébés mammouths retrouvés en Sibérie ces 200 dernières années, explique Bernard Buigues, spécialiste français mondialement réputé de ces pachydermes aujourd'hui disparus. "Nous n'avons pas réussi à le dater au carbone 14, ce qui signifie qu'il a plus de 50.000 ans : le carbone 14 devient inopérant au-delà", ajoute-t-il.

    On ne sait pas si Khroma était un mâle ou une femelle. On sait en revanche qu'il est mort à l'âge de 6 ou 7 mois. C'est un chasseur qui l'a découvert en juillet 2009, dépassant du permafrost sur les berges de la rivière Khroma, environ 2.000 kilomètres au nord de Yakutsk, près de l'océan Arctique. La dépouille du jeune animal, avant d'être retrouvée, a malheureusement été partiellement dévorée par des renards, qui ont mangé la trompe et le sommet du crâne.
    Bernard Buigues est un spécialiste des mammouths, réputé notamment pour avoir mis au jour les restes de Jarkov, un rare mammouth laineux adulte découvert en 1999. Il a rapidement été contacté par les scientifiques russes qui ont les premiers étudié Khroma.

    Les premiers tests microbiologiques réalisés ont montré que le jeune animal était porteur de germes très anciens mais potentiellement mortels, comme le bacille du charbon (Bacillus anthracis). D'extrêmes précautions sont donc employées lors des manipulations, du transport
    et des analyses.
    Toujours prisonnier de la glace, Khroma est pour l'instant emprisonné dans un container isolé. Arrivé en France, il prendra tout d'abord la direction de Grenoble, vers le seul laboratoire mondial spécialisé dans le traitement par rayons gamma. Cette technique, déjà utilisée par le passé, a fait ses preuves en matière de décontamination : "Nous avons traité la momie de Ramsès II en 1977. Elle avait moins de 1.800 ans, mais était contaminée par un champignon
    qui la dégradait" explique Laurent Cortella, physicien nucléaire au sein de ce labo. "Nous
    n'avons encore jamais manipulé quelque chose d'aussi ancien, une telle créature ainsi
    arrachéeau permafrost".

    Après avoir été bombardé de rayons gamma et débarrassé de tout risque bactériologique, Khroma partira pour le Puy-en-Velay, où il sera analysé et autopsié, avant d'être présenté
    au public à l'occasion d'une exposition consacrée aux mammouths et à leurs contemporains.

    Alors que les attaques de requin sur l'Homme sont très rares contrairement à la croyance populaire, ces animaux sont de terribles prédateurs pour bien des espèces marines, notamment les phoques et les otaries, leurs mets préférés.

    A cause de la réduction de leur habitat, mais également du nombre de proies disponibles pour elles, de plus en plus d'espèces de serpents sont menacées d'extinction.
    Voici quelques espèces qu'elles soient menacées ou non.

    Asie - Les tarsiers, de petits primates peuplant le sud-est de l’Asie, ont de quoi surprendre ceux qui croisent leur chemin : ne mesurant pas plus de 18 cm et pesant à peine une centaine de grammes en général, ils possèdent d'immenses yeux brillants qui rendent leur regard difficile à oublier.

    Les tarsiers ont hérité leur nom de genre (en latin, Tarsius) des os du pied, les tarses, qui chez eux sont très développés. Ils possèdent de gros yeux, occupant la moitié de la surface de leur face, une longue queue d’une vingtaine de centimètres et mesurent 15 à 18 cm, pour un poids de 80 à 160 grammes.
    Ce sont des animaux dotés de caractéristiques étonnantes : ils ne se déplacent qu’en sautant, étant incapables de marcher, leurs oreilles peuvent tourner dans toutes les directions et surtout, leur tête peut pivoter à 360°.
    Ils sortent rarement de l’arbre qui leur sert de logement, leurs "excursions" étant généralement réservées à la recherche de leur nourriture, essentiellement constituée d’insectes. Si le tarsier est principalement insectivore, il peut occasionnellement chasser des serpents ou des oiseaux.
    Il se déplace d’une branche à l’autre avec une grande agilité grâce aux "disques" de ses doigts et orteils qui lui permettent de rester accroché aux branches. Sa queue plus longue que son corps lui est aussi utile pour garder l’équilibre, en servant de balancier.

    Le parfum des plantes carnivores.

    Les feuilles des plantes carnivores imitent les autres fleurs en émettant des substances chimiques odorantes pour piéger les insectes.


    Les plantes carnivores ne sont pas des plantes ordinaires. Vivant dans des milieux souvent pauvres en nutriments, elles se sont adaptées en développant des stratégies pour capturer et digérer les insectes dans leurs feuilles transformées en pièges. Couleurs vives attrayantes, nectar, guides ultraviolets sont autant de leurres employés pour attirer leurs proies.

    Une nouvelle stratégie a été mise en évidence chez Nepenthes rafflesiana, une plante carnivore tropicale poussant surtout sur les sables blancs des forêts du Nord de l'île de Bornéo. Laurence Gaume-Vial et ses collègues du Laboratoire botanique et bioinformatique de l'architecture des plantes, à Montpellier, et Jean-Marie Bessière, du Laboratoire de chimie appliquée de l'École nationale supérieure de chimie, également à Montpellier, ont montré que les feuilles de Nepenthes rafflesiana produisent tout un bouquet d'arômes pour appâter leurs proies. Elles imitent ainsi les fleurs qui émettent tout un éventail de composés volatils afin d'attirer divers insectes pollinisateurs.

    Chaque feuille de Nepenthes rafflesiena forme une urne remplie d'un liquide viscoélastique. Lorsqu'un insecte imprudent est pris au piège de cette glu, il lui est impossible de s'échapper, et une lente digestion commence. Les jeunes pousses de Nepenthes rafflesiana produisent des urnes au ras du sol. Ces urnes, dites terrestres, sont arrondies et de couleur rouge. Au fil du temps, la plante carnivore devient grimpante et s'accroche à la végétation environnante pour monter parfois jusqu'à 15 mètres de haut. Elle produit alors des urnes aériennes en forme d'entonnoir qui sont généralement jaunes.

    Les chercheurs ont remarqué que les proies présentes au menu dépendent du type d'urne. Les urnes terrestres attirent principalement les insectes rampants (fourmis, termites) et les araignées. Les urnes aériennes sont visitées non seulement par les insectes rampants et les araignées, mais aussi par des insectes volants qui consomment d'habitude le nectar et le pollen des plantes à fleurs : mouches, papillons, coléoptères, moustiques, abeilles, guêpes, etc. En sentant de près les urnes aériennes, les chercheurs ont constaté qu'elles dégagent une odeur agréable, fruitée et florale. Les urnes terrestres, quant à elles, sont peu odorantes. Des expériences en laboratoire ont confirmé cette relation entre l'odeur émise et la diversité des proies attrapées.

    Dans un premier temps, les chercheurs ont montré qu'en l'absence de stimulus visuel, des insectes de diverses espèces préfèrent se diriger dans un compartiment où sont diffusés des effluves d'urnes de la plante carnivore plutôt que dans un compartiment témoin, sans odeur particulière. De plus, les insectes volants préfèrent l'odeur des urnes aériennes à celle des urnes terrestres.

    Dans un second temps, l'équipe de Montpellier a identifié la composition chimique des odeurs émises par chacune des urnes. Les composés volatils, récupérés sur un filtre, sont d'abord dissous dans un solvant puis séparés par la technique dite de chromatographie en phase gazeuse. L'identification est alors réalisée par spectrométrie de masse, technique qui se fonde sur la différence de rapport masse/charge de chaque molécule.

    Pas moins de 54 composés, appartenant à trois grandes familles de composés volatils, ont ainsi été mis au jour : des acides gras et leurs dérivés, des composés aromatiques (des benzénoïdes) et des terpènes (des dérivés de l'isoprène, produits par de nombreuses plantes). Les analyses montrent que les urnes aériennes produisent beaucoup plus de composés aromatiques et de terpènes, susceptibles d'attirer les insectes volants visiteurs de fleurs, que leurs homologues terrestres.

    On savait déjà que certaines plantes sont capables d'émettre par leurs feuilles des composés volatils du type dérivés d'acides gras ou terpènes pour éloigner les herbivores. Les feuilles de ces plantes carnivores ne faisant que rarement l'objet d'attaques d'herbivores, rien ne laissait cependant supposer qu'elles émettent des molécules odorantes. Les odeurs qu'elles émettent, contrefaçon biochimique des plantes à fleurs, sont le fruit d'une adaptation à un milieu naturel pauvre en nutriments au niveau du sol, mais riche en insectes. Reste maintenant à comprendre comment la plante carnivore ne piège pas ses propres pollinisateurs...

    Article écrit par Emilie Auvrouin.

    Encore quelques photos, du volcan Islandais en activité..C'est électrisant!!!

    Allez voir!!!!

    Je vous propose de découvrir des photos de la sortie, réalisée dans une ancienne carrière de gypse et à Fontaine de Vaucluse.
    Elle a pour but de découvrir les éléments d'un paysage et l'action de l'eau sur les roches.
    Allez voir la rubrique"PHOTOS".

    Vous trouverez ci dessous des photos montrant le glacier recouvert de cendres et d'autres montrant le volcan en éruption.Je vous laisse apprécier..

    Islande – Ce 20 mars 2010, aux alentours de minuit, l’Islande était touchée par une éruption volcanique. Heureusement, plus de peur que de mal, aucune victime n’a été recensée.

    Le volcan Eyjafjöll, situé dans le glacier Eyjafjallajökull, est entré en éruption le 20 mars dernier. Il était resté inactif près de deux siècles, sa dernière éruption datant du 19 décembre 1821. Si cet évènement n’inquiète pas les scientifiques et les autorités, ceux-ci craignent qu’il soit en fait un avertissement à une prochaine éruption du volcan Katla, qui serait bien plus dramatique car elle entraînerait de très fortes inondations en faisant fondre une partie du glacier.

    600 personnes ont été évacuées, elles peuvent regagner leur logement dès aujourd’hui, hormis les habitants de quatorze fermes où la situation s’avère encore trop dangereuse. Ces personnes avaient surtout été évacuées par crainte que les glaciers ne fondent à cause de la température de la lave, qui pouvait atteindre plus de 1.000°C. Toutefois, l’hypothèse de la fonte des glaces a été infirmée, l’éruption ne provoquera pas de montée des eaux.

    Des éruptions de magma se sont élevées jusqu’à 200 mètres. Il s’agissait d’une éruption assez importante mais sans gravité, aucun blessé ni aucun décès n’a été constaté.


    LE 16 AVRIL

    Islande - L'éruption du volcan Eyjafjöll bouleverse actuellement le trafic aérien nord-européen. Quelle est l'origine de cette perturbation ? Comment réagir face à ce phénomène? Maxisciences vous donne quelques explications pour mieux appréhender cette éruption et ses conséquences.

    L’Eyjafjöll est sorti de son sommeil le 20 mars dernier. "Depuis deux jours, les coulées de magma ont atteint une zone de glaces qui ont provoqué des jets de vapeur et de cendres jusqu’à 11 km d’altitude", explique le géologue Fabrice Fillias.

    Même si les premières cendres volcaniques islandaises ont atteint la pointe nord de la France hier vers 20H00, aucun risque sanitaire n'est à craindre. Comme l'a précisé la Direction générale de la santé (DGS), l'éruption volcanique en Islande ne présente "pas actuellement de risque significatif pour la santé du fait de la haute altitude et de la dispersion du nuage de cendres".

    "Même si le panache de fumée se dilue dans l’atmosphère, les vents qui soufflent sur l’Islande sont orientés vers le sud-est", explique le prévisionniste de Météo France Étienne Kapikian. Voilà pourquoi la France a été touchée. Lorsqu'un "nuage" issu d'une éruption volcanique dépasse la stratosphère, les particules de lave qui le composent s'étalent à cause du choc lié à la différence de température. En revanche, si ce panache ne monte pas jusqu'à la stratosphère (13 km au-dessus du niveau du sol), il est détruit par les vents.

    Le temps de dispersion des nuages de cendres est très variable, et dépend principalement de la hauteur de ces derniers. La durée de l'éruption et les conditions météorologiques influent également sur leur longévité. Il faut savoir qu'à ce jour, le "nuage" provoqué par l'Eyjafjöll est de petite taille, et que son déplacement est favorisé par des vents relativement forts.

    Cependant, l'éruption continue et pourrait entraîner d'autres manifestations du même type dans les prochains jours. Si elles ne menacent pas les activités et les personnes au sol, ces poussières peuvent présenter des risques en altitude, raison pour laquelle de nombreux avions sont aujourd'hui cloués au sol.

    N'oubliez pas de consulter les pages annexes...
    Aller voir le dossier sur" les nouvelles de l'espace.."
    Encore merci aux visiteurs de mon blog :).


    Grande-Bretagne - Une équipe de scientifiques britanniques en expédition aux Philippines a découvert une nouvelle espèce de plante carnivore, assez grande pour capturer et digérer des rongeurs de la taille d'un rat.

    Baptisée Nepenthes attenboroughii en hommage à Sir David Attenborough, célèbre naturaliste britannique, cette plante peut atteindre 1,20 mètre. Les botanistes à l'origine de sa découverte ont déclaré dans un communiqué "que l'une des plus grandes plantes carnivores soit restée inconnue jusqu'au 21e siècle est quelque chose d'incroyable".

    Attirés par le liquide sucré présent au fond de l'urne (ou ascidie) de la plante, insectes et rongeurs tombent à l'intérieur de ce piège, où ils finissent par mourir noyés, avant d'être lentement digérés par les enzymes digestives contenues dans le liquide.

    BONJOUR aux biobloggers!! Un grand merci pour vos visites :-)
    N'hésitez pas à laisser des messages...BONNE SEMAINE A TOUS!

    1 - Styloctenium mindorensis
    est une chauve-souris frugivore originaire de l'île de Mindoro, dans les Philippines.
    2 - Desmoxytes purpurosea, un mille-pattes.
    3 - Electrolux addisoni est le plus grand membre connu de la famille des raies électriques, originaire de l'Océan Indien.
    4 - Oxyuranus temporalis pourrait être l'un des serpents les plus dangereux jamais découvert. Les deux espèces qui en sont le plus proches occupent la première et la troisième place des serpents les plus venimeux du monde.
    5 - Philautus maia est un amphibien originaire du Sri Lanka. Cette espèce est en danger critique d'extinction.

    Dans la fable d’Ésope La corneille et la cruche, l’oiseau ingénieux utilise des pierres pour faire monter le niveau d’eau dans une cruche afin de s’abreuver sans difficulté. Les travaux de C. Bird et de ses collègues de l’Université de Cambridge montrent que la réalité n’est guère éloignée.

    Quatre corbeaux ont été placés devant un récipient contenant un fond d’eau et un ver flottant à sa surface. Ils ont réussi à placer le nombre minimal de pierres dans le récipient, faisant ainsi monter le niveau de l’eau juste assez pour pouvoir atteindre l’appât convoité. Ils ont aussi sélectionné les grosses pierres plutôt que les petites. Nouvelle preuve de l’intelligence de ces oiseaux..

    Découvrez une vidéo en HD, mettant en scène des animaux que vous connaissez, dans leur environnement naturel .Tout simplement MAGNIFIQUE!!
    Une bonne façon de commencer la semaine :)
    J'attends aussi vos commentaires et d'éventuelles suggestions!!


    My Father's Garden
    envoyé par Mirko-Faienza. - Regardez plus de courts métrages.

    La dissection des branchies de la truite, réalisée par la classe de 5°A , est disponible!!
    Allez voir , dans"photos "!!!

    Encore un grand merci aux visiteurs de mon blog!! :)
    Allez voir le nouveau dossier de la semaine!
    N'oubliez pas les autres articles et photos à votre disposition.

    Grande-Bretagne - La dionée attrape-mouche est peut-être la plus connue des plantes carnivores, mais de nouvelles images filmées par une équipe de la BBC proposent de redécouvrir sa technique de chasse de façon surprenante.

    La dionée attrape-mouche (Dionea muscipula) et ses feuilles en forme de mâchoires représentent certainement la première image qui nous vient à l'esprit à l'évocation des plantes carnivores. Filmée dans le cadre d'un documentaire diffusé par la BBC, elle nous montre ici sa surprenante technique de chasse, comme si nous nous trouvions nous-mêmes en compagnie de la mouche prête à se faire dévorer par ce piège végétal redoutable.

    Le secret de la dionée ? Des poils sensitifs. Si deux d'entre eux sont actionnés à moins de vingt secondes d'intervalle, les mâchoires se referment sur la proie, qui n'a alors que de faibles chances de pouvoir s'enfuir. Une fois prisonnier de cette cage végétale, le malheureux insecte est condamné, digéré par des enzymes protéolytiques libérées par la plante. Une fois la proie vidée de ses sucs quelques semaines plus tard, la feuille qui la contient s'ouvre à nouveau, pour une nouvelle chasse.

    Vous pouvez aller voir les photos de la dissection de la fleur, faite par la classe de 6°A et celles de la dissection du membre inférieur de grenouille, faite par la 4°A, du collège Marie-Rivier.

    VOIR LES PHOTOS




    Merci aux visiteurs de mon blog :)
    Je vous propose un dossier de la semaine sur le mimétisme, représenté de façon époustouflante, par les geckos. Je vous invite à le découvrir!

    Pollution, surpêche, sonars militaires ou filets dérivants, les menaces pesant sur les cétacés sont nombreuses. En 2005, l'Unesco déclarait ainsi que « plus de deux tiers des dauphins, des marsouins et autres espèces de la famille des cétacés sont en danger d’être abattus ou pris dans des filets ».

    Cette galerie rappelle la perte incommensurable que représenterait la disparition des orques, dauphins, cachalots et autres baleines pour la biodiversité de la planète bleue.




    Il n'y a pas que dans les océans que nagent des poissons de taille impressionnante!
    Cette galerie de photos vous permettra de découvrir que les géants existent aussi en eau douce.

    Bienvenue sur ce blog, qui vous permettra je l'espère, de satisfaire votre curiosité scientifique.
    Vous pourrez aussi, me poser des questions, en rapport avec les cours, ou, les sciences, [uniquement :) ].
    Vous trouverez, pour débuter, des photos, réalisées par les élèves de 4°A,sur des simulations d'éruptions volcaniques, faites en classe.
    Le dossier de la semaine est aussi à votre disposition.
    Bonne lecture!

    La mante religieuse, symbole ultime de la gynocratie (les femelles tuent leur mâle après ou même pendant l'accouplement), représente également le prédateur dans toute sa splendeur. Loin d'être effrayée par des proies plus grosses qu'elle, elle délaisse parfois criquets, sauterelles et autres papillons pour des mets plus... consistants.
    On peut le voir dans cette vidéo, où une mante religieuse d'une rapidité impressionnante capture un colibri venu se sustenter



    Le triton espagnol se protège en faisant jaillir ses côtes à travers sa peau, qui deviennent autant de pointes effilées et toxiques.



    Parmi les X-men, des super-héros créés par Stan Lee et Jack Kirby dans les années 1960, il en est un, nommé Wolverine ou Serval (apparu en 1974), doté de griffes en métal acérées qui sortent du dos de ses mains. Egon Heiss, de l'Université de Vienne, en Autriche, et ses collègues, ont étudié un système de défense similaire, celui du pleurodèle de Waltl (Pleurodeles waltl), aussi appelé triton espagnol. Seule différence, chez l'amphibien, les griffes sortent... de la cage thoracique !

    Comment fonctionne cette arme secrète ?

    Quand il est menacé et aculé, le reptile s'immobilise, fait le dos rond et gonfle son thorax, d'où poignent alors, au niveau de zones orangées, des petites pointes. Simultanément, l'animal exsude une substance laiteuse toxique qui oint ces pointes. Et voilà le triton paré pour se défendre. Ce système fut découvert en 1879 par le zoologiste allemand Franz von Leydig, mais on en ignorait les détails.

    À l'aide d'analyses tomographiques et radiographiques, l'équipe d'E. Heiss a montré que ces pointes sont en fait les extrémités des côtes. Ces os effectuent une rotation à partir de leur point d'ancrage sur la colonne vertébrale : l'angle par rapport à l'axe vertébral peut varier de 27 à 92 degrés, soit une amplitude de 65 degrés. Cette rotation est autorisée par les deux « têtes » de l'articulation des côtes avec la colonne.

    Plus étonnant encore. On pensait que les os traversaient des pores spécialement dévolus à cette fonction. Il n'en est rien : à chaque fois que les côtes sortent, elles perforent la peau, celle-ci, comme chez la plupart des amphibiens – et chez Wolverine ! –, se régénérant ensuite facilement. L'animal, immunisé contre son poison, produirait également des substances antibactériennes pour éviter l'infection des lésions qu'il s'inflige. Ce système de défense fondé sur une automutilation fait du triton espagnol un cas à part chez les amphibiens, voire dans l'ensemble du monde animal : des petites blessures valent mieux qu'une grande à l'issue incertaine !


    source : www.pourlascience.fr


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