Grande-Bretagne - Une équipe de scientifiques britanniques en expédition aux Philippines a découvert une nouvelle espèce de plante carnivore, assez grande pour capturer et digérer des rongeurs de la taille d'un rat.
Baptisée Nepenthes attenboroughii en hommage à Sir David Attenborough, célèbre naturaliste britannique, cette plante peut atteindre 1,20 mètre. Les botanistes à l'origine de sa découverte ont déclaré dans un communiqué "que l'une des plus grandes plantes carnivores soit restée inconnue jusqu'au 21e siècle est quelque chose d'incroyable".
Attirés par le liquide sucré présent au fond de l'urne (ou ascidie) de la plante, insectes et rongeurs tombent à l'intérieur de ce piège, où ils finissent par mourir noyés, avant d'être lentement digérés par les enzymes digestives contenues dans le liquide.
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1 - Styloctenium mindorensis est une chauve-souris frugivore originaire de l'île de Mindoro, dans les Philippines.
2 - Desmoxytes purpurosea, un mille-pattes.
3 - Electrolux addisoni est le plus grand membre connu de la famille des raies électriques, originaire de l'Océan Indien.
4 - Oxyuranus temporalis pourrait être l'un des serpents les plus dangereux jamais découvert. Les deux espèces qui en sont le plus proches occupent la première et la troisième place des serpents les plus venimeux du monde.
5 - Philautus maia est un amphibien originaire du Sri Lanka. Cette espèce est en danger critique d'extinction.
Dans la fable d’Ésope La corneille et la cruche, l’oiseau ingénieux utilise des pierres pour faire monter le niveau d’eau dans une cruche afin de s’abreuver sans difficulté. Les travaux de C. Bird et de ses collègues de l’Université de Cambridge montrent que la réalité n’est guère éloignée.
Quatre corbeaux ont été placés devant un récipient contenant un fond d’eau et un ver flottant à sa surface. Ils ont réussi à placer le nombre minimal de pierres dans le récipient, faisant ainsi monter le niveau de l’eau juste assez pour pouvoir atteindre l’appât convoité. Ils ont aussi sélectionné les grosses pierres plutôt que les petites. Nouvelle preuve de l’intelligence de ces oiseaux..
Découvrez une vidéo en HD, mettant en scène des animaux que vous connaissez, dans leur environnement naturel .Tout simplement MAGNIFIQUE!!
Une bonne façon de commencer la semaine :)
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My Father's Garden
envoyé par Mirko-Faienza. - Regardez plus de courts métrages.
La dissection des branchies de la truite, réalisée par la classe de 5°A , est disponible!!
Allez voir , dans"photos "!!!
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Grande-Bretagne - La dionée attrape-mouche est peut-être la plus connue des plantes carnivores, mais de nouvelles images filmées par une équipe de la BBC proposent de redécouvrir sa technique de chasse de façon surprenante.
La dionée attrape-mouche (Dionea muscipula) et ses feuilles en forme de mâchoires représentent certainement la première image qui nous vient à l'esprit à l'évocation des plantes carnivores. Filmée dans le cadre d'un documentaire diffusé par la BBC, elle nous montre ici sa surprenante technique de chasse, comme si nous nous trouvions nous-mêmes en compagnie de la mouche prête à se faire dévorer par ce piège végétal redoutable.
Le secret de la dionée ? Des poils sensitifs. Si deux d'entre eux sont actionnés à moins de vingt secondes d'intervalle, les mâchoires se referment sur la proie, qui n'a alors que de faibles chances de pouvoir s'enfuir. Une fois prisonnier de cette cage végétale, le malheureux insecte est condamné, digéré par des enzymes protéolytiques libérées par la plante. Une fois la proie vidée de ses sucs quelques semaines plus tard, la feuille qui la contient s'ouvre à nouveau, pour une nouvelle chasse.
Vous pouvez aller voir les photos de la dissection de la fleur, faite par la classe de 6°A et celles de la dissection du membre inférieur de grenouille, faite par la 4°A, du collège Marie-Rivier.
VOIR LES PHOTOS
Pollution, surpêche, sonars militaires ou filets dérivants, les menaces pesant sur les cétacés sont nombreuses. En 2005, l'Unesco déclarait ainsi que « plus de deux tiers des dauphins, des marsouins et autres espèces de la famille des cétacés sont en danger d’être abattus ou pris dans des filets ».
Cette galerie rappelle la perte incommensurable que représenterait la disparition des orques, dauphins, cachalots et autres baleines pour la biodiversité de la planète bleue.